Ici, on parle de cinéma, et on n'a pas peur des gros mots ! Comme cinématographie transcendantale, et comme fichtre et oulala pouet pouet. Venez donc ! On s'amuse bien !
vendredi 20 février 2015
Bis : Nope.
Et ben c'est nul. Voilà.
C'est l'histoire de deux bobos parisiens qui par une extraordinaire facilité de scénario et un effet numérique bidon, se retrouvent en 1986, quand ils avaient 17 ans. Oui, exactement comme dans Camille Redouble ! C'est surtout l'histoire de Renaud ne peut pas blairer les comédies françaises à la sauce TF1 je crois. Bien sûr, les acteurs et actrices sont bons, très bons, et il y a des répliques drôles ici et là (UNE scène est irrésistible. Kad Mérad, 17 ans, débarque chez une femme qui hurle parce qu'elle va accoucher. Il a toute son expérience de gynécologue de cinquante ans, mais une tronche de gosse de 17 ans. Franchement, la scène est super), mais dans l'ensemble c'est chiant. Qui plus est la résolution scénaristique finale n'arrive jamais, vu qu'au final tout est conclu par un accident, et l'évolution des personnages est purement circonstancielle. Quitte à faire un film bateau, autant en respecter les codes...
Le seul moment où le film sort de la médiocrité, c'est lors d'une séquence émotion entre Frank Dubosc et son papa, puisque ce premier tente de réparer leur relation. C'est sympa sauf que Noémie Lvovsky l'a déjà fait, et en beaucoup mieux, il y a à peine deux ans. Mais bon ! Tant pis. Je retiendrai surtout de ce film que les habits des années 80 et les coiffures sont superbes, que les filles dans le film sont extrêmement jolies et que le type qui joue Dubosc jeune est absolument magnifique.
Enfin, heureusement, comme dans toute comédie franchouillarde franco-française, il y a de très bons rôles féminins.
HAHAHAHAHA. Mais non enfin. Le deuxième personnage féminin le plus présent à l'écran après la fille principale a pour seule identité "nymphomane".
"So swagg", comme dit la fille de Kad Mérad dans le film, parce que les jeunes ça parle comme ça.
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